referencement google Lorsque à l’aube, affaibli par tes blessures, vidé de ton sang, le visage tuméfié, la peau tatouée par la marque de tes geôliers, le visage livide, la gorge nouée par les sanglots, tu trébucheras, saches qu’une petite lumière blanche sera toujours là pour veiller sur toi. Et même s’ils te toisent, te croisent, t’épient, te surveillent, te torturent, te tuent, te trahissent, t’emprisonnent ou t’abandonnent, saches aussi qu’un petit ange t’aidera à te relever et à continuer ta route. Et il en sera toujours ainsi de même. Et lorsque tu verras le premier vol des hirondelles, tu sauras que le printemps est déjà prés de toi et que tu pourras toujours te rassasier de soleil et ta vue se ravivera du bourgeonnement des arbres, des premières fleurs, de la fonte des neiges et des oiseaux qui exhiberont pour toi leur interminable ballet et égaieront ton ciel. Et quant tu auras soulager ta peine, tu n’auras pas besoin de chrysanthèmes et ...