referencement Google Là ou les régimes dictatoriaux ont régné, ils laissent souvent une empreinte indélébile. Ils propagent autour d’eux, lorsqu’ils tombent ou qu’ils viennent à mourir, un parfum morbide, une odeur mortifère qui inhibe les esprits, bride l’espérance et empêche la lumière de jaillir. Ils emportent souvent dans leur chute des pays tous entiers, appauvrissent encore plus des peuples qu’ils ont longtemps affamés et dépouillés et laissent ici et là des brasiers encore fumants qui ne demandent qu’à être ravivés pour semer une fois de plus la désolation, la haine, le feu et la mort.
Analyses et Réflexions