referencement Google L’idéal de novembre 1954 s’est-il donc à ce point délité ? Et avons-nous tout renié au point de tout permettre ? La scène politico-médiatique algérienne s’emballe ces jours-ci et nous restitue ce dont nous avons été capables de faire et ce dont nous sommes devenus. Un spectacle tragico-comique qui révèle une république sans défense livrée aux articulations perverses de la mondialisation notamment celles des multinationales capables de tout corrompre et même de faire et de défaire les régimes en place. L’Algérie a aujourd’hui sans doute plus besoin de juges Falcone ( Giovanni Salvatore Augusto et non Pierre-Joseph) et de généraux Dalla Chiesa que de toute autre chose. Le grand déballage jurico-médiatique qui se déclame devant nos yeux ébahis et qui nous coupe le souffle pourrait devenir le canal par lequel s’opérera cette cure de jouvence tant attendue, ce grand déballage et cette grande lessive qui redonner...
Analyses et Réflexions