Référencement Google L’époque de Jean François Kahn n’est plus qu’un lointain souvenir. Au nom de quelle liberté d’expression, de quelle éthique journalistique où de quelle quête d’une analyse prospective sur la géopolitique de l’Algérie un hebdomadaire français dont on ne connaît plus le positionnement politique ouvre-t-il ses colonnes à un brûlot anti algérien écrit par un universitaire franco-marocain ? Ou plutôt marocain puisque le concept de double nationalité n’est en fait qu’un artifice sémantique pour cacher une ségrégation non assumée par les uns ou pire un complexe du colonisé bien incrusté dans l’ADN des autres, cette infime partie de l’élite d’origine maghrébine installée en France qui au lieu d’aspirer à investir les institutions françaises pour se constituer en lobbies d’influence à l‘image de ce que font, par exemple, les communautés juive et arménienne, s’entête à devenir plutôt l’une des articulations de cette France néocolon...
Analyses et Réflexions