Par une matinée de septembre sous un ciel bleu d’Algérie… Le 1 er Septembre 2013, un membre des services algériens s’exprimant aussi bien en arabe qu’en français m’aborde puis avec une sérénité déconcertante m’intimide et me menace dans un train de banlieue en me disant notamment et d’emblée que «les journalistes et les écrivains assassinés ne sont pas beaux à voir » puis « ne t’inquiètes pas pour la république, les services sont là, veillent et surveillent ».
Analyses et Réflexions