referencement Google Ce qui me suffoque n’est pas tant les boutades du Président Français, même celles qu’il a subitement décidé de raconter à propos de l’Algérie, l’homme qu’un de ses actuels lieutenants avait jadis qualifié de «fraise des bois » est réputé pour son humour «débordant» qu’il n’arrive plus à contenir. D’autres, avant lui, auront fait pire comme ce bras d’honneur d’un ancien ministre français, auquel nous avons, comme beaucoup d’autres, répondu dans un de nos écrits (1) . Ce qui m’indigne n’est pas que ces propos aient été exprimés devant un auditoire composé de membres du CRIF, véritables inspirateurs de la politique étrangère de l’hexagone et vis-à-vis desquels l’homme n’a jamais caché son attachement et qu’il est de surcroît libre de recevoir. Ce qui m’attriste n’est pas que le ministre français des affaires étrangères ait décidé, sous d’infinis prétextes, de ne pas venir à Alger et de faire l’impasse sur le déplacement ...
Analyses et Réflexions