referencement Google Les trottoirs d’Alger sont tristes et anémiques. Ils rapetissent et s’écroulent sous le poids de mastodontes polluants qui les occupent, les écrasent, les piétinent et en chassent les piétons. Les piétons d’Alger qui déambulent sous un soleil de plomb dans des rues sans lune, sans trottoirs et sans noms ne savent plus où mettre les pieds, n’ont plus de places où flâner ni encore moins où battre le pavé.
Analyses et Réflexions