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Articles

La lente agonie d’un idéal entêté

referencement Google L’idéal de novembre 1954 s’est-il donc  à ce point délité ? Et avons-nous tout renié au point de tout permettre ?  La scène politico-médiatique algérienne s’emballe ces jours-ci et nous restitue  ce dont nous avons été capables de faire et ce dont nous sommes devenus. Un spectacle tragico-comique qui révèle une république sans défense livrée aux articulations perverses de la mondialisation notamment celles des multinationales capables de tout corrompre et même de faire et de défaire les régimes en place. L’Algérie a aujourd’hui sans doute plus besoin de juges Falcone ( Giovanni Salvatore Augusto  et non Pierre-Joseph) et de généraux Dalla Chiesa que de toute autre chose. Le grand déballage jurico-médiatique qui se déclame devant nos yeux ébahis et qui nous coupe le souffle pourrait devenir le canal par lequel s’opérera cette cure de jouvence tant attendue, ce grand déballage et cette grande lessive qui redonner...

Précisions de Confluences DZ

referencement Google Des articles (faits divers, presse people ou autres) d'auteurs d'ici ou d'ailleurs portant les mêmes nom et prénom que l'auteur de ce site peuvent être publiés (presse écrite, réseaux sociaux, ..). Ces textes sont l'oeuvre de personnes homonymes et ne sont pas les nôtres. Aucun article n'ayant pas été au préalable publié sur Confluences DZ ou sur les journaux (presse écrite et sites électroniques) qui reçoivent nos contributions (Le Quotidien d'Oran, La Nouvelle République, Le Quotidien d'Algérie, AlterInfo et le Grand Soir) ne peuvent nous être attribué. Merci à tous ceux qui nous lisent de noter ces précisions qui ont pour but d’éviter toute confusion. M. Salim METREF

La CAN oui peut-être mais pas trop non plus!

referencement Google Que ceux qui pourraient sombrer dans la déprime et la mélancolie à propos de l’organisation de cette coupe d’Afrique des nations de 2017 qui ne nous a pas été attribuée se rassurent. C’est un non-événement malgré les fortes attentes des aficionados et des accros de la balle ronde. Ce n’est pas non plus l’ouragan ni la tempête car ce qui  compte aujourd’hui n’est pas d’être influent dans les instances dirigeantes du football africain où même mondial dont tout le monde connait les arcanes et le  fonctionnement. Ni de recourir à la diplomatie pour le devenir car le noble usage de cette dernière est bien plus utile ailleurs surtout lorsque l’on sait aussi que la seule arme qui compte en termes de lobbying sportif est semble-t-il sonnante et trébuchante. Ni d’appréhender et de disséquer ce non-événement sous le prisme étroit des bisbilles entre responsables du sport en Algérie et encore moins de dire que l’Algérie s’effondre où tombe...

Sortir de la nuit coloniale

Entre éclipse solaire et marées hautes, la France a les yeux pétillants de joie et de curiosité. Mais en filigrane s’esquissent déjà des lendemains qui déchantent. L’arrivée des extrêmes au pouvoir en France est désormais une certitude. Et à Béziers s’invite déjà en guise de mémoire la nostalgie des causes perdues. Quel âge avait donc Robert Menard en 1962 pour avoir pu intérioriser autant de ressentiments et, disons-le sans hésitation,  de haine à l’égard de l’Algérie indépendante ? Juste 9 ans. Et peut-on à cet âge-là avoir déjà le vécu nécessaire pour s’inventer un passé, une histoire ? Né à Oran en 1957, celui qui ne cache plus ses opinions les plus radicales franchit le Rubicon et ose quelques pas de danse dans ce cercle révisionniste qui s’agrandit chaque jour en France, qui a aussi ses adeptes en Algérie, et qui n’a pas encore trouvé de réponse  ferme notamment de ce côté-ci de la Méditerranée.   Le tonitruant et ancien président  et fondateur de ...

Pour en finir avec la nostalgérie

referencement google Note de l'auteur  Cet article a été publié pour la première fois le 25 mars 2012.  Il se propose au delà de l'Algérie de s'interroger aussi sur ce colonialisme qui après  avoir sauvagement désarticulé et pour très longtemps encore de nombreux pays se réinvente chaque jour que Dieu fait. Ces pays qui après avoir connu des périodes post-coloniales plutôt tumultueuses ont inconsciemment reproduit les modes de fonctionnement politique hérités du colonialisme, provoqué les même traumatismes dont ils ont eux-mêmes souffert et sont devenus très vulnérables notamment du point de vue du respect des libertés fondamentales.  50 ans après l'indépendance de l'Algérie, les soubresauts des partisans de l'Algérie française continuent de siffler à nos oreilles comme les balles assassines de l'OAS et cette situation risque de connaitre des développements inattendus à l'occasion notamment des prochaines éché...

A propos de Confluences DZ

Référencement Google Initialement dédié à l'Algérie, le contenu diffusé sur ce blog a finalement été "happé" par la densité de l'actualité internationale. Nous ne pouvions rester insensibles et nous le disons sans prétention aux souffrances des autres et ne pas relater et dénoncer aussi ce qui se passe en dehors du contexte algérien qui reste lui aussi bouillonnant.  La Palestine trahie, le monde musulman qui se disloque sous l'effet de l'expansionnisme occidental, lui-même induit par le travail en profondeur effectué par les néo-conservateurs américains, inspirateurs et instigateurs du clash des civilisations, mais aussi à cause de l'inconscience et de l'autoritarisme de ceux qui le dirigent (la recherche d'alibis serait-elle parfois trop facile tant nous serions peut-être nous-mêmes et souvent les propres instigateurs de notre déliquescence?), les peuples occidentaux qui s'appauvrissent, dépouillés de leur souveraineté par les cartels tec...

Colères hivernales pour un printemps clément

Le pays part-il vraiment en vrille ? Certains le prétendent et la question mérite d’être posée tant les dissonances politiques semblent se multiplier et surgir de partout et peuvent laisser penser qu’il n’y a plus de cap, que le bateau est ivre et qu’il navigue de Charybde en Scylla. Et que nous qui rêvons encore de liberté et d’indépendance continuerons de rester sidérés que soit oublié l’essentiel, protéger ce pays arraché par la guerre aux convoitises des puissants et qui aujourd’hui se retrouve soumis aux pressions externes souvent inhérentes à une recomposition géopolitique et géostratégique en cours, décidée par ces nouveaux prédateurs qui ne cachent plus leur sinistres desseins surtout en terre d’Islam. Cette recomposition qui ne dit pas son nom et dont l’Algérie serait selon certains, mais pour combien de temps encore, l’un des chainons manquants se met insidieusement en place et aboutirait si nous n’apprenions pas à nous méfier de ces éloges flatteurs que l’on vient cont...