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Ce pays qui est le mien

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Les dernières législatives françaises ont confirmé ce que beaucoup d’observateurs politiques savaient déjà,  l‘inexorable dérive vers l’extrême droite du centre de gravité politique de l’hexagone.

Cette tendance devenue lourde au fil des ans porte l’ambition des populations françaises notamment les plus démunies de stopper la dérive d’un pays devenu l’otage de différents lobbies notamment ceux  loyaux à l’égard d’entités étrangères et d’un pays subissant de plein fouet un véritable processus de grand emplacement.

L’émergence de cette puissante force politique appelée tantôt extrême droite et tantôt droite nationale, doux euphémisme prescrit pour phagocyter ce qui reste comme droite dite modérée, charrie dans son sillage tous les phantasmes et toutes les obsessions qui ont caractérisé la France depuis le début du 19éme siècle et dont les marqueurs ont été une colonisation féroce avec des crimes contre l’humanité et des génocides concomitants.

De grandes turbulences se manifestent au plus haut sommet de l’état français où s’érige désormais la cacophonie en mode de gouvernance puisque qu’un virevoltant petit ministre de l’intérieur se substitue, tonte honte bue, à un président de la république répudié il est vrai et soumis au diktat d’une autre majorité politique qui constitue le véritable pouvoir de l’hexagone.

Ces turbulences sont provoquées par tout ce que la France compte comme politiques et medias dont le seul corpus idéologique est la haine de l’Algérie libre et indépendante et sont induites et catalysées par la volonté d’émancipation définitive de l’Algérie de toute tutelle et de toute ingérence et ce d’où qu’elles viennent.

Cette volonté de ce pays continent s’inscrit en droite ligne dans la perspective nationale et nationaliste construite par les meilleurs enfants de l’Algérie et dont les héritiers s’attellent aujourd’hui à se réapproprier tous les leviers de la décision nationale.

Le voyage en Italie du président Algérien, l’excellence des relations avec tout ce que cette planète compte comme puissances véritables, Chine, USA, Russie, Iran, Corées et bien d’autres encore sont les premiers marqueurs de cette trajectoire de renouveau national dont les piliers porteurs sont la prospérité du peuple algérien issue de la puissance économique, une armée qui monte en puissance,  une volonté politique réelle de solidarité et de bon voisinage  et d’immenses ressources naturelles qu’il faut gérer avec intelligence, qui  ne peuvent profiter qu’au peuple algérien et dont il faut préserver la part des générations futures.

Dans ce contexte bouillonnant de refondation de l’ordre du monde et des rapports de force s’affichent des combats d’arrière-garde, ceux qui sont conduits dans l’ombre par les loosers, les perdants et les absents du nouvel ordre mondial. Et ainsi s’exhibent les haines les plus féroces et pire se manifestent les ingérences les plus grotesques de ceux qui osent même appeler à déconstruire le partenariat stratégique construit avec nos amis italiens et dont le référent et le socle remontent à l’époque du  combat des indépendantistes algériens comme  l’amitié et la solidarité d’un grand ami de l’Algérie, Enrico Mattei. Un nom que récusent bien sur ces mauvais élèves de l’histoire qui préfèrent lui substituer celui d’Aussaresses ou de Papon.



Répétons-le encore une fois, chaque pays est souverain et libre d’adopter les politiques qui lui conviennent, d’accueillir qui il veut sur son territoire et d’en refuser qui il veut.

Mais il ne faut pas qu’il y ait confusion des genres car les relations internationales sont régies par le droit international et que le respect mutuel s’impose à tous.

L’Algérie ne saurait servir d’exutoire aux angoissés du naufrage annoncé de l’hexagone. Les français les plus démunis savent que les élites françaises sont souvent corrompues et ont conduit le bateau France droit vers l’iceberg. Sur le pont, ces élites continuent malgré le naufrage de pérorer sur la chaleur de l’accueil de Meloni.

Mais depuis longtemps les marins le disent et les livres d’histoire l’enseignent. Il y’a pire que tous ces icebergs,  il y’a ces récifs redoutables de ce pays qui est le mien.

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