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Note de l'auteur: Cet article a été rédigé et soumis à publication le 21 octobre 2025
Les tentatives récurrentes
d’ingérence de la diplomatie de l’administration Trump dans ce qui relève de
choix souverains de l’Algérie apparaissent soudainement nauséabondes et maléfiques en
ce que tout cela rappelle notamment à ceux qui pourraient l’avoir oublier que
les Etats-Unis n’ont qu’une seule doctrine, leurs intérêts stricts, qu’un seul
ami l’entité sioniste et qu’une seule méthode d’agir qui fonde leur diplomatie
et dont ils raffolent, l’effet cliquet qui caractérise cette démarche d’ingérence
graduelle dont chaque étape constitue un segment irréversible sans possibilité de retour en arrière et qu’il
faut déjà dépasser à l’étape suivante.
L’agenda semble pourtant
clair comme de l’eau de roche. En fidèle et inconditionnel allié et grand
protecteur devant l’Eternel d’Israël, l’administration Trump qui rappelons-le a
soutenu le génocidaire Netanyahou et son armée en lui fournissant armes,
munitions et assistance logistique ambitionne sans l’afficher, pour l’instant, d’affaiblir
puis d’anéantir ce dernier maillon de résistance incarné par cette Algérie, fière
de son histoire, jalouse de sa souveraineté et détentrice encore de sa décision
politique.
Le terrain ayant été déjà déblayé
depuis quelques années par une opération de séduction conduite par une sympathique diplomate qui a
fait ses classes au Proche-Orient, l’administration américaine et Trump
espèrent le moment venu d’imposer à l’Algérie
un agenda et un tempo diplomatiques en exerçant s’il le faut un pressing
incarné notamment par un ballet ininterrompu de visites de personnalités de haut
rang et de tout secteur. Ce dernier constitue sans doute le prélude classique
avant que ne tombe le couperet final, une ingérence caractérisée dans nos
affaires politiques internes et dans nos choix extérieurs mais pas que qui pourrait revêtir des aspects jusque-là
insoupçonnés et dangereux pour notre
souveraineté et notre décision stratégique.
Même les think Tank qui sont
désormais sollicités dans ce cadre nous pondent régulièrement des études et
autres prétendues expertises qui veulent ébranler notre souveraineté et notre
intégrité territoriale.
Prenons garde. La naïveté
ne doit pas être de mise et ceux qui s’offusquent des déclarations récentes
prêtées au ministre Lavrov devraient aussi méditer que le mal de l’Algérie, de
l’Afrique et du tiers monde est souvent venu de l’ouest.

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