La guerre de Gaza n’a pas encore révélé toutes ses
conséquences tant régionales qu’internationales. La trêve de 30 jours décidée à
l’issue des négociations du Caire pour mettre semble-t-il «à l’épreuve les intentions des uns et des autres» et d’arrêter le
massacre notamment celui de nourrissons, d’enfants, de femmes et de personnes âgées palestiniens ne sera qu’une
pause avant reprise des négociations. Tout reste en suspend notamment la
résolution de ce qui constitue le cœur du conflit au Proche-Orient, les droits
légitimes du peuple palestinien à un état avec pour capitale Jérusalem et au
retour des millions de réfugiés qui depuis 1948 ont quitté leurs foyers. Et il
ne s’agira pas de négocier pour Gaza mais pour le peuple palestinien toute entier.
Mais en attendant cette échéance et tout ce qui d’ici là pourrait se produire,
énumérons quelques unes des conséquences les plus pertinentes de cette guerre perdue
par Israël qui apparaitront à l’avenir et dont les contours commencent déjà à
se dessiner.
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Une crise politique majeure en Israël nourrit par une inéluctable crise économique que les traditionnels pourvoyeurs de fonds occidentaux ne pourront pas endiguer, une fracture profonde au sein de la communauté juive dont les premiers signes sont la condamnation sans appel des crimes de guerre commis par l’armée Israélienne par d’anciens déportés juifs américains, une mise en quarantaine des traditionnels agitateurs sionistes (surtout dans les médias occidentaux) dont les « judicieux conseils » ont inspiré le criminel de guerre Netanyahou et lui ont permis d’aller se fracasser à Gaza, la fin du mythe de Tsahal dans l’imaginaire occidental et la remise sur l’agenda international du chapitre incontournable des droits légitimes et inaliénables du peuple palestinien que les gouvernements occidentaux voulaient sous la pression d’Israël faire passer aux oubliettes constitueront quelques unes de ces conséquences.
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Une crise politique majeure en Israël nourrit par une inéluctable crise économique que les traditionnels pourvoyeurs de fonds occidentaux ne pourront pas endiguer, une fracture profonde au sein de la communauté juive dont les premiers signes sont la condamnation sans appel des crimes de guerre commis par l’armée Israélienne par d’anciens déportés juifs américains, une mise en quarantaine des traditionnels agitateurs sionistes (surtout dans les médias occidentaux) dont les « judicieux conseils » ont inspiré le criminel de guerre Netanyahou et lui ont permis d’aller se fracasser à Gaza, la fin du mythe de Tsahal dans l’imaginaire occidental et la remise sur l’agenda international du chapitre incontournable des droits légitimes et inaliénables du peuple palestinien que les gouvernements occidentaux voulaient sous la pression d’Israël faire passer aux oubliettes constitueront quelques unes de ces conséquences.
Les évènements de Gaza auront également permis grâce à la combativité et à la
détermination du peuple palestinien et parce que l’armée israélienne a commis
des crimes de guerre de libérer les peuples occidentaux prisonniers des lobbies
pro israéliens et de leur redonner la parole puisqu’ils avaient jusque là toujours
eu peur de condamner aussi bien le sionisme que les exactions israéliennes. Enfin
qu’un nouveau conflit majeur avec Israël n’est pas à écarter surtout que les
dirigeants de ce dernier ne tiennent jamais leurs promesses ni ne respectent
leurs engagements et mettront probablement à profit les 30 jours de trêve avant
reprise des négociations pour créer les conditions d’une nouvelle confrontation
et pour préparer secrètement la tentative de liquidation des chefs du Hamas et
du Jihad islamique palestiniens.

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