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Après avoir vaincu le signe indien et battu l'Allemagne, la promesse ne s'est pas réalisée. Battre le Portugal et remporter l'euro 2016. La pression était sans doute devenue trop forte et extrêmement difficile à gérer. Difficile de redescendre de son nuage lorsque l'on a fait trembler par deux fois de suite et face à l'ogre allemand les filets d'un stade vélodrome en folie. A Paris, le cœur n'était plus à l'ouvrage et le Portugal que personne ne donnait favori réussi à démentir tous les pronostics. Le courage d'un onze privé de Ronaldo crée l'exploit et remporte la mise face à une équipe tricolore qui de façon incompréhensible part soudainement en vrille.
Après avoir vaincu le signe indien et battu l'Allemagne, la promesse ne s'est pas réalisée. Battre le Portugal et remporter l'euro 2016. La pression était sans doute devenue trop forte et extrêmement difficile à gérer. Difficile de redescendre de son nuage lorsque l'on a fait trembler par deux fois de suite et face à l'ogre allemand les filets d'un stade vélodrome en folie. A Paris, le cœur n'était plus à l'ouvrage et le Portugal que personne ne donnait favori réussi à démentir tous les pronostics. Le courage d'un onze privé de Ronaldo crée l'exploit et remporte la mise face à une équipe tricolore qui de façon incompréhensible part soudainement en vrille.
Le match était pourtant gagné
d'avance et personne ne donnait cher du onze lusophone. Mais comment ne pas
penser comme beaucoup le font actuellement que la politique et le sport n'ont
jamais fait bon ménage. En 1998, la France remportait la coupe du monde. Le
groupe était extrêmement soudé, truffé de talents et conduit par une icone
incontestable, Zinedine Zidane.
Pour avoir oser remettre en cause cette potion
magique, ce mélange qui permet à l'hexagone d'avancer, Didier Deschamps a commis
sans le vouloir l'impair. Car le calcul semble avoir été simple et beaucoup
l'ont compris sans jamais le dénoncer. Ben Arfa, Benzema et même le stoppeur
Rami disparus des écrans radars, il fallait laisser place "à plus digne"
représentant de l'hexagone, des français de souche et des blacks plutôt issus des DOM-TOM. Cela aurait permis,
selon certains, la victoire de l'équipe de France, de requinquer le moral du
plus grand nombre, de fouetter la croissance et pourquoi pas d'engranger
quelques dividendes aux prochaines échéances électorales.
Comment ne pas aussi comprendre
que ce qui n'est pas toléré pour les beurs comme exhiber un autre maillot que
le maillot tricolore l'est pour les supporters portugais qui dans leur majorité
étaient détenteurs de la double nationalité et supportaient leur pays
d'origine.
Alors quand ce spécialiste de la géopolitique
du sport dit qu'il ya un million de lusophones en France et que cela en faisait
"nos cousins", cela fait comme même sourire quand on pense au nombre
de "beurs" qui y vivent. Il est vrai que l'aveu ressemble à un
véritable mea culpa.
Cet Euro aurait pu être comme
pour l'équipe de France en 1998, un événement qui colmate les brèches,
une véritable communion nationale qui
crée de la joie et de la symbiose entre toutes les composantes de la société
française. Des calculs politiciens ont en décidé autrement. La note est
aujourd'hui salée. Elle donnera en tous les cas à réfléchir aux apprentis
sorciers.

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