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Nous ne remplissons certainement pas les conditions du Failed State, de l’Etat déliquescent. Du moins nous l’espérons car nous disposons encore des ressorts et des ressources nécessaires pour redresser la trajectoire et espérer de lendemains meilleurs.
Nous ne remplissons certainement pas les conditions du Failed State, de l’Etat déliquescent. Du moins nous l’espérons car nous disposons encore des ressorts et des ressources nécessaires pour redresser la trajectoire et espérer de lendemains meilleurs.
L’été que nous venons de
vivre a été extrêmement pénible pour nos
méninges en quête d’oxygène, de sérénité
mais aussi de prospérité. Corruption
endémique, maladies, pollution des eaux, des rivières et des villes, violences,
viols et assassinats d’enfants commis par des monstres qui méritent amplement
que le moratoire non-dit sur l’exécution de la peine de mort soit gelé et gravissime
cocainegate avec son lot de dégâts collatéraux et de dangers comme la
possibilité d’immixtion dans nos affaires internes offertes à des organisations
gouvernementales en charge de la criminalité internationale ont ainsi jalonné
cette période estivale.
La sortie du bourbier dans
lequel nous pataugeons depuis des lustres ne se fera que grâce à un effort
collectif qui n’est pas impossible. L’engagement citoyen commence déjà au pas
de nos portes. Mais cela ne suffira que si la volonté politique de changement
est présente et bien visible.
Une bonne nouvelle enfin.
Une production record de céréales en 2018 qui laisse espérer que
l’autosuffisance alimentaire ne sera pas juste une simple vue de l’esprit mais
un objectif que l’Algérie pourra atteindre à très court terme. Cet objectif
constitue aussi un impératif de sécurité nationale. La marge de manœuvre n’est
pas si étroite et ne dilapidons plus ni notre temps et ni nos richesses. Enfin
du blé à profusion, nous en redemandons encore mais pas n’importe lequel.

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