Maroc : Réponse à la réaction épidermique de « Hespress »

Référencement Google 

C’est sous le titre Algérie : Le brûlot du « Quotidien d’Oran que le  journaliste Mohamed Jawad El Kanab du site "Hespress" réagit de façon  épidermique et véhémente, usant et abusant de l’invective et de l’insulte, par rapport au contenu de l’article Algérie, les chantiers de la réforme et les errements de la diplomatie marocaine publié par le Quotidien d’Oran.

 

Ajouter une légende

Aucune insulte n’a pourtant accompagné ce texte conçu comme une analyse sans concessions  de  la relation algéro-marocaine et qui met notamment en exergue de sombres perspectives pour ce pays, perspectives  pourtant relayées également par de nombreux observateurs et analystes marocains.

En tous les cas, les lecteurs apprécieront en lisant ce texte de quel coté se situent véritablement la haine et le ressentiment dont parle ce monsieur.

Quant à ma modeste personne, objet de la « correction » infligée par Si El Kanabi, aucune souillure verbale ne pourra l’altérer ni ma réputation et crédibilité, ni aucune manœuvre réussir à me jeter en pâture à l’opinion de mon propre pays.

Appartenant à une famille d’intellectuels et de patriotes algériens, à cette race de seigneurs qui a juré fidélité pour l’Algérie, de surcroît avec un parcours professionnel qui fait déjà partie du passé, un statut social et surtout une excellente éducation, je ne pourrai jamais être ce que vous écrivez à mon sujet ni utiliser vos méthodes et vous répondre de la même manière.

Et retournement de veste, lécheur, voix de son maître et que sais-je encore que vous évoquez à mon sujet sont me semble-t-il des qualificatifs qui pourraient plutôt convenir à votre propre personne.

Et puisque vous les citez tous les deux, j’avoue que je suis fier de notre Armée et le Président Abdelmadjid Tebboune à qui je ne demande absolument rien que de continuer à faire convenablement son job  pourrait être cet homme providentiel dont a vraiment besoin l’Algérie en ces temps de turbulences internationales. Et cette attitude n’est pas incompatible avec le combat qui  a toujours été  le mien, dénoncer tous les abus d’où qu’ils viennent et refuser le dévoiement des missions d’institutions nobles sensées être au service des citoyens comme j’ai eu à le subir moi-même à maintes reprises. Cela n’est pas  combattre les institutions en tant que telles.

Pour conclure, sachez que vous ne réussirez pas à me faire haïr le Maroc, ni le peuple Marocain. Ce dernier qui aime l’Algérie et refuse la surenchère du régime marocain à l’égard de l’Algérie n’acceptera probablement pas la grande messe marocco-israélienne dont certains observateurs marocains disent qu’elle sera pour bientôt.