referencement Google
Note de l'auteur: Lire également Kiev pour oublier Bangui mais en attendant la suite
Note de l'auteur: Lire également Kiev pour oublier Bangui mais en attendant la suite
Certains experts sont unanimes et
l’affirment. Sans un saut qualitatif technologique majeur, la suprématie
militaire américaine sera bientôt battue en brèche par la montée en puissance
et l’émergence de la Chine. Cette nouvelle donne géostratégique ainsi que le
risque potentiel encouru de l’effondrement du dollar, envisagé à court terme non
seulement par certains experts mais également redouté par certains grands
spéculateurs et autres gourous de la finance internationale, et l’effet dévastateur induit sur l’économie
américaine et celles des pays
occidentaux, expliquent en partie l’affolement
américain à se redéployer sur la question ukrainienne en accentuant les
sanctions vis-à-vis de la Russie et en transformant une fois de plus une crise artificielle
créée de toutes pièces en une opportunité.
C’est que le scénario Ukrainien s’est bel et bien emballé et les objectifs qui lui ont été initialement fixés n’ont pas été atteints. Bien au contraire. Destinés initialement à provoquer un effet domino au sein même de la Russie en y encourageant les divisions et les processus sécessionnistes, les événements de Kiev ont été encouragés par l’Europe et ont bénéficié d’une couverture médiatique exceptionnelle qui a été cependant réduite depuis que le puissant lobby médiatique mondialiste et les agitateurs attitrés et autres pourfendeurs de la Russie de Poutine se sont aperçus que certains nationalistes ukrainiens portaient au bras l’insigne de la croix gammée. Les événements qui ont eu lieu dans la capitale Ukrainienne ont dés le début évolué vers une forme de résistance insurrectionnelle de type guérilla grâce à l’encadrement, selon encore certains experts, de spécialiste israéliens qui ont apporté leur savoir-faire. Ces événements ont précipité la désintégration de l’Ukraine dont une partie importante de la population, sommée par la communauté internationale de choisir entre l’union européenne et l’OTAN où la Russie, ne cache plus sa sympathie ni sa reconnaissance pour cette dernière. Et «l’annexion-réappropriation » de la Crimée par la Russie n’est qu’un retour de flamme fulgurant qui puise son origine non seulement dans les provocations incessantes occidentales mais aussi dans un processus historique qui n’est pas encore achevé. La Crimée qui abrite le puissant port de Sébastopol ainsi que la flotte de la mer noire a noué des liens indéfectibles avec la Russie et est composée d’une population qui lui est majoritairement acquise. Elle a également fait partie des Républiques de l’ex Union Soviétique et a abrité des événements majeurs qui ont scellé la paix internationale.
C’est que le scénario Ukrainien s’est bel et bien emballé et les objectifs qui lui ont été initialement fixés n’ont pas été atteints. Bien au contraire. Destinés initialement à provoquer un effet domino au sein même de la Russie en y encourageant les divisions et les processus sécessionnistes, les événements de Kiev ont été encouragés par l’Europe et ont bénéficié d’une couverture médiatique exceptionnelle qui a été cependant réduite depuis que le puissant lobby médiatique mondialiste et les agitateurs attitrés et autres pourfendeurs de la Russie de Poutine se sont aperçus que certains nationalistes ukrainiens portaient au bras l’insigne de la croix gammée. Les événements qui ont eu lieu dans la capitale Ukrainienne ont dés le début évolué vers une forme de résistance insurrectionnelle de type guérilla grâce à l’encadrement, selon encore certains experts, de spécialiste israéliens qui ont apporté leur savoir-faire. Ces événements ont précipité la désintégration de l’Ukraine dont une partie importante de la population, sommée par la communauté internationale de choisir entre l’union européenne et l’OTAN où la Russie, ne cache plus sa sympathie ni sa reconnaissance pour cette dernière. Et «l’annexion-réappropriation » de la Crimée par la Russie n’est qu’un retour de flamme fulgurant qui puise son origine non seulement dans les provocations incessantes occidentales mais aussi dans un processus historique qui n’est pas encore achevé. La Crimée qui abrite le puissant port de Sébastopol ainsi que la flotte de la mer noire a noué des liens indéfectibles avec la Russie et est composée d’une population qui lui est majoritairement acquise. Elle a également fait partie des Républiques de l’ex Union Soviétique et a abrité des événements majeurs qui ont scellé la paix internationale.
Mais quelles leçons faut-il retenir
des tragiques événements que vit l’Ukraine qui peut à tout moment basculer dans
l’horreur et le bain de sang ? Quel est le risque potentiel de propagation
encouru par l’Europe où les ingrédients de l’explosion et de remise en cause de
la paix civile semblent déjà réunis du fait de la persistance de la crise
économique, du chômage et de la pauvreté grandissante ?
Il est évident de constater et de
dire que la morale et le droit international ne sont plus désormais du coté de
ceux qui prétendent régenter le monde, dicter la conduite des affaires
internationales, fixer le tempo et préconiser, s’il le faut par la force
militaire, les grandes orientations de la politique internationale. Après
l’échec de sa tournée en Asie où l’influence chinoise, y compris militaire, et
l’entêtement nord-coréen sont désormais scellés et actés, le durcissement du
discours du Président Américain sur la question ukrainienne ne peut cacher l’embarras
de Washington face à la contestation de son hégémonie et de son nouvel ordre
mondial par l’entêtement de ceux qui
militent grâce à de nouveaux rapports de force pour une nouvelle définition des
relations internationales fondé sur le respect mutuel, la coopération et
l’équilibre des forces. Comment peut-on après avoir envahi L’Irak et l’Afghanistan,
continué de malmener l’Iran, provoqué l’implosion de la Syrie, spolié le peuple
Palestinien de ses droits légitimes à un état souverain et au retour de ses
millions de réfugiés, déclaré la guerre aux musulmans et conduit la majorité
des expéditions punitives qu’aura connu le monde au cours des dernières
décennies prétendre pouvoir encore dire le doit international et énoncer ce qui
est juste et ce qui ne l’est pas. Quelle crédibilité peut-il rester lorsque
l’on a sa politique internationale dictée et tenue en laisse par les puissants
lobbys qui malmènent le monde ? Moscou n’est certes pas Pékin mais n’est
ni Baghdâd et ni Kaboul. Le coup de sang de Poutine révèle une chose. L’ère des
diktats est révolue et l’ampleur des sanctions internationales, soutenues par
l’Europe et notamment par la France, ne
viendront certainement pas à bout de la détermination Russe qui semble bénéficier
de la compréhension et de la sympathie d’une bonne partie de la communauté
internationale.

Commentaires
Enregistrer un commentaire