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Le retour de l’absent. Ces années passées ailleurs parfois si proche des siens. Mais tellement présent dans les cœurs. Ce retour attendu au pays bien aimé. Ce public désiré, cette sublime Algérie meurtrie par tant d’épreuves et cette indomptable Kabylie sans laquelle plus rien n’aurait de sens. Il dit «je suis toujours resté algérien et ce pays garde une place immense dans mon cœur ».
Les mots purs, ciselés comme savent si bien le faire les orfèvres des Ath Yenni, dits dans cette si belle langue Tamazight et qui rappellent à bien des égards l’ainé, l’illustre Mouloud Mammeri. Une carrière decidemment bien remplie, une célébrité incontestable, des amitiés nouées à travers le monde mais surtout la tête sur les épaules et l’ego raboté depuis des lustres. Mais noblesse oblige comme on dit.
Le retour de l’absent. Ces années passées ailleurs parfois si proche des siens. Mais tellement présent dans les cœurs. Ce retour attendu au pays bien aimé. Ce public désiré, cette sublime Algérie meurtrie par tant d’épreuves et cette indomptable Kabylie sans laquelle plus rien n’aurait de sens. Il dit «je suis toujours resté algérien et ce pays garde une place immense dans mon cœur ».
Les mots purs, ciselés comme savent si bien le faire les orfèvres des Ath Yenni, dits dans cette si belle langue Tamazight et qui rappellent à bien des égards l’ainé, l’illustre Mouloud Mammeri. Une carrière decidemment bien remplie, une célébrité incontestable, des amitiés nouées à travers le monde mais surtout la tête sur les épaules et l’ego raboté depuis des lustres. Mais noblesse oblige comme on dit.
Et
dans la vie il y a un moment pour tout. La lutte, le pavé qu’il faut battre, la
fidelité aux siens et puis la mémoire mutilée, blessée, amputée que nul ne peut
faire disparaitre et qui revient et impose son tempo. Il y a aussi d’autres
moments. Ceux du retour vers ceux que l’on n’a jamais oublié. Ces mots dits en arabe
pour bien se faire entendre. Cette Algérie du nord au sud, d’est en ouest, qui
comme une Mama devenue folle implore tous ses enfants et les prie de revenir.
Et puis ce discours et cette distinction hautement intellectuelle entre ce qui
est relève de la légalité et ce qui relève de l’autre, là où le bât blesse, la
légitimité, l’état de droit. Mais le temps fera son œuvre et la légalité et la
légitimité feront tôt où tard route ensemble car l’Algérie ne peut plus attendre.
Oui les chemins qui montent sont ceux qu’il faut toujours emprunter. Plus
difficiles à arpenter mais au bout le
sommet, cette posture idéale à qui nul sauf
le soleil ne peut venir faire de l’ombre.


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