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Cette phrase d’un grand homme politique exaspéré par l’empressement
des services de sécurité israéliens à vouloir l’empêcher de discuter avec la population
palestinienne d’El Qods restera sans doute dans les annales. Elle illustrera longtemps encore ce que fut le
Président Jacques Chirac. Un homme courageux au caractère bien trempé avec de
nobles principes chevillés au corps. Une personne sympathique proche de ses concitoyens
notamment les plus modestes et qui démontrait aussi et à sa manière que nul n’avait
le monopole du cœur. Il fut incontestablement proche de Yasser Arafat et à l’écoute
des aspirations du peuple palestinien et de sa juste cause. L’homme était en tous les cas et sur ce registre précis de
la politique extérieure de la France sans doute beaucoup plus sincère que pouvaient
l’être les dirigeants arabes qui ne fournissaient pas les efforts nécessaires
pour porter véritablement ce combat. Certains d’entre eux et bien que disposant
de puissants moyens financiers ne les utilisaient pas toujours à bon escient.
L’hexagone eut ses monstres du cinéma. Il eut aussi ceux de la politique. Jacques Chirac en sera sans doute le dernier. Il n’y en aura certainement plus d’autres. La fonction présidentielle n’est plus ce qu’elle était. Le politiquement correct et la puissance des lobbies l’auront malmenée et réduite à sa plus simple expression. Une fonction symbolique qui n’incarne plus non seulement le destin d’un homme mais plus encore celui d’une nation.
L’hexagone eut ses monstres du cinéma. Il eut aussi ceux de la politique. Jacques Chirac en sera sans doute le dernier. Il n’y en aura certainement plus d’autres. La fonction présidentielle n’est plus ce qu’elle était. Le politiquement correct et la puissance des lobbies l’auront malmenée et réduite à sa plus simple expression. Une fonction symbolique qui n’incarne plus non seulement le destin d’un homme mais plus encore celui d’une nation.

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